Présentation McLaren MP4-28

McLaren a donc dévoilé sa monoplace 2013, la MP4-28. Retour sur cette présentation.

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Un peu d’histoire

L’écurie de Woking fête aussi ses 50 ans. Pour l’occasion, McLaren a ressorti ses vieilles gloires, du Canam au GT, en passant bien sûr par la F1, avec les MP4-4 de 1988 de Senna-Prost, la M23 et les MP4-13 de Häkkinen et MP4-23 de Hamilton. Après un petit passage de la future supercar P1, place à la MP4-28 !

Reine du jour

Les deux pilotes Jenson Button et Sergio Perez ont ensuite levé le voile sur l’arme de McLaren pour 2013. Sans surprise cette MP4-28 conserve son nez classique, sans cassure. Comme le dit Button, elle est à l’extérieur très proche de la MP4-27, mais « sous sa peau elle est très différente ». On s’attend donc à de petites innovations dont voici quelques exemples.

Un peu de technique

Andrew Benson de la BBC a relevé que la MP4-28 adopte une suspension avant à tirant, tout comme Ferrari l’avait fait l’an passé. On retrouve aussi des échappements proches de ceux de l’an passé, avec le système de gouttière déjà vu en 2012, et que Ferrari reprend sur sa F138. Les pontons aussi sont assez différents, avec des prises d’air triangulaires. Tous ces petits détails seront abordés plus tard, lorsque l’on en saura plus sur cette monoplace.

Voici maintenant la vidéo de présentation et une petite galerie photo de l’évènement.

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Crédit photo : Sutton

Présentation F1 2013 2/3 : bagarre en milieu de grille

Deuxième partie de notre présentation de la grille F1 2013. Après les écuries qui devraient se battre en haut de la grille, voici les équipes désireuses de rejoindre le peloton de tête, et qui se battront pour les points en 2013.

Williams vers le sommet ?

2012 a été une saison à deux visages pour Williams. Le retour du moteur Renault a bien entendu été une source d’amélioration des résultats. L’écurie de Grove a même remporté une victoire au GP d’Espagne grâce à Pastor Maldonado. Mais d’un autre côté, les voitures de Sir Frank ont été très irrégulières, notamment du fait de son manque de performances dans les portions lentes des circuits. La chute s’est confirmée durant la dernière partie de la saison sur des circuits très exigeants pour les monoplaces. La FW35 de 2013 devrait donc gommer les petits manques de Williams pour permettre à cette écurie historique de la F1 de retrouver son niveau d’il y a presque 10 ans.
Côté pilotes, Pastor Maldonado aura marqué de sa griffe le début de saison. Victoire à Barcelone, podium manqué à Valence ou en Malaisie, gros raté à Monaco … Irrégulier comme sa monoplace ! Mais Maldonado est un pilote extrêmement rapide, qui a prouvé qu’il pouvait jouer les premiers rôles.
La grosse nouveauté pour Williams en 2013 sera l’arrivée aux côtés de Maldonado de Valtteri Bottas. Le Finlandais a démontré de vraies qualités de vitesse lors des sessions du vendredi auxquelles il a participé en 2012. Il remplace un Bruno Senna, constant en début de saison mais qui s’est effacé au fur et à mesure de l’année. Le duo pourrait amener de belles choses !

Renouvellement chez Sauber

Changement de line-up chez l’équipe helvétique. Exit Perez, parti chez McLaren, et exit Kamui Kobayashi, moins en vue en 2012 qu’en 2011. Bienvenue à Esteban Gutierrez, soutenu, et même très bien soutenu par Telmex, et à Nico Hülkenberg transféré de chez Force India.
Les qualités de l’Allemand ne sont plus à prouver, on attend de voir ce que va produire Gutierrez au volant d’une C32 toujours motorisée par le V8 Ferrari, et qui sera l’héritière d’une C31 innovante (pontons).

ToroRosso dans la continuité

Chez la petite soeur de RedBull, la continuité est de mise. Même duo de pilotes (Vergne et Ricciardo) qui a été solide pour sa première année en F1. Les deux jeunots ont marqué de nombreux points à chaque fois que cela était possible, surtout en fin de saison. Mais les performances de STR ont été un peu en dessous des attentes. À voir si la version 8 sera meilleure que sa devancière ou Vergne et Ricciardo devront encore grappiller les miettes de points.

Force India un peu dans le flou

L’une des bonnes surprises de 2012. Avec Hulkenberg et DiResta souvent bien placés en qualifications et qui ont concrétisé à de nombreuses reprises avec des belles places d’honneur (4e pour Hulkenberg en Belgique, 4e pour DiResta à Singapour). La prochaine étape en 2013 sera le podium. Mais avec un nouveau pilote.
Si DiResta est resté, on ne connait pas encore le remplaçant de Hulkenberg. Entre Jules Bianchi, Adrian Sutil, ou pourquoi pas Bruno Senna, les paris sont ouverts. Le Français semble bien placé, soutenu par Ferrari.

Car en 2014, il se pourrait que Force India laisse les moteurs Mercedes actuels pour se tourner vers un V6 Turbo Ferrari. Ce qui pourrait favoriser l’arrivée de Bianchi.

Le parcours du Rallye de France 2013 en vidéo

Ce matin avait lieu la présentation du parcours du Rallye de France-Alsace. En voici une vidéo 3D. À noter que l’ES1 fera office de Power Stage ! Une première en WRC, puisque les PS sont habituellement organisées en fin de rallye. Le rallye sera diffusé sur Sport +

Présentation F1 2013 1/3 : les têtes d’affiche

À quelques jours des premiers essais de Jerez, il est temps de voir quelles seront les forces en présence en 2013. Première partie aujourd’hui avec les favoris.

Fin d’une époque technique

Avant le bouleversement technique de 2014, les monoplaces 2013 ne vont que peu peu évoluer cette année par rapport à 2012. Ajustements aéro (échappements entre autres), détails peaufinés, fiabilité pour certains (je n’ai pas dit McLaren !). En 2014, l’arrivée des V6 Turbo va complètement rebattre les cartes. Alors avant un futur qui s’annonce palpitant, les favoris se placent.

RedBull vise le quadruplé

2010, 2011, 2012. Trois ans que RedBull et Sebastian Vettel règnent en maître sur le F1 Circus. Pour autant, 2012 a montré que la forteresse n’était plus aussi imprenable. L’avance technique des RedBull est certes toujours présente, mais tant McLaren que Fernando Alonso ont causé des soucis à l’équipe autrichienne. McLaren avait la monoplace la plus performante, et l’Espagnol a manqué de détrôner Vettel pour 3 petits points.

Alors RedBull a travaillé pendant l’hiver. Travaillé dur pour ne pas réitérer un début de saison 2012 en demi-teinte avant le sursaut de la fin d’année et le retour d’une domination sur le plan technique. Si l’on attend pas une monoplace révolutionnaire pour 2013, Adrian Newey aura sans doute peaufiné au maximum une monoplace déjà rapide, mais qui méritait une meilleure fiabilité. Le travail avec Renault durant l’inter-saison a dû être intense !

Côté pilotes, Vettel apparait comme une force tranquille, lui qui a remporté un titre 2013 qu’on ne disait perdu à la mi-saison. La question de son avenir pourra par contre jouer à un moment, si il lui vient des envies d’ailleurs, comme pour aller chez Ferrari en 2014.
Pour Mark Webber, 2013 pourrait aussi être une dernière saison avec le taureau rouge. L’Australien n’a jamais retrouvé son niveau de 2010, malgré une belle entame 2012. Il s’est petit à petit effacé face à Vettel et aux autres prétendants au titre. La paire reste cependant un atout maître pour la conquête d’un quatrième titre consécutif pour RedBull.

Ferrari veut gagner

2012 aura été l’année de tous les extrêmes pour la Scuderia. À la rue en Australie, les Rouges ont failli décrocher le titre pilotes au Brésil. Rarement prise en défaut sur la fiabilité, la très particulière F2012 a manqué de performance, notamment en fin de saison face au retour de RedBull et face à la sprinteuse McLaren. Après les prises de risques techniques de 2012, la monoplace 2013, qui s’appellera F138 (année 13 et V8) est attendue pour poursuivre dans le sillage de sa devancière, tout en mettant l’accent sur la vitesse pure.

Fernando Alonso et Felipe Massa mèneront encore les voitures rouges en 2013. Si Alonso reste sans doute le meilleur pilote actuel et partira donc pour le titre, on attend surtout la confirmation du réveil de Massa. Auteur d’une fin de saison enfin à la hauteur de son rang, le Brésilien doit permettre à Ferrari de jouer à nouveau le titre constructeurs, et être un allié de poids pour Alonso.

McLaren sans Hamilton

Le transfert de Lewis Hamilton de McLaren vers Mercedes F1 est bien sûr une perte pour l’écurie de Woking. Mais en recrutant Sergio Perez, elle s’est assurée un pilote rapide, quoiqu’un peu inconstant lors de ses dernières sorties 2012. À mettre peut-être au crédit du contre-coup de son transfert. Jenson Button sera très attendu, « débarrassé » de l’emprise d’Hamilton dans l’équipe. Le champion du monde 2009 aura sans aucun doute une très belle carte à jouer si McLaren nous sort une monoplace digne de 2012.

Car oui, la monoplace la plus rapide de 2013 était bien la MP4-27. La MP4-28 est donc obligée de suivre le niveau de performance de son aînée. Le côté fiabilité devra par contre être amélioré, une fiabilité qui a coûté la course au titre à Hamilton. On attend aussi une amélioration lors des ravitaillements, autre talon d’Achille de Woking en 2012.

Lotus pour une deuxième surprise

Révélation de 2012, Lotus F1 Team ne sera plus un outsider en 2013, mais un des favoris, notamment dans la course au titre pilotes. Kimi Raïkkönen a réalisé une saison 2012 exceptionnelle pour son retour, remportant le GP d’Abu Dhabi et conservant ses chances pour le titre jusqu’à la toute fin de championnat. Le Finlandais, si la E21 est au niveau, sera un vrai concurrent pour la couronne 2013. Pour son coéquipier Romain Grosjean, le challenge sera de rester « cool » lors des départs, pour enfin confirmer son potentiel. Si le duo franco-finlandais tourne à plein régime, attention à Lotus.
L’écurie d’Enstone a été la première à dévoiler sa monoplace 2013.

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La E21 reste assez proche de la E20, toutes les différences se situant dans des petits détails (échappements, ailerons …). Le double DRS passif sera par contre de la partie, après son arrivée manquée en 2012. Vous pouvez retrouver la présentation Lotus ici : Présentation Lotus E21

Hamilton peut-il faire gagner Mercedes ?

C’est le transfert de 2012-2013. Lewis Hamilton a donc quitté son cocon de McLaren pour remplacer le retraité Michael Schumacher chez Mercedes. Un pari osé pour Lewis, sprinteur le plus en vue en 2012, qui a perdu toute chance de bien figurer au championnat du fait du manque de fiabilité de sa McLaren, et des bourdes de son écurie dans les stands. Le pilote n’est pas à remettre en question, tout comme son équipier Rosberg, qui s’est débattu toute l’année au volant d’une Mercedes rapide en ligne droite, mais qui dévorait ses pneus en moins de temps qu’il n’en faut pour dire ouf.
Si l’équipe technique des Flèches d’Argent concocte une monoplace à la hauteur, les deux potes Hamilton et Rosberg seront redoutables. Les résultats de la W04 sont attendus de pied ferme à Stuttgart, car les têtes dirigeantes n’accepteront peut-être pas de nouveaux résultats indignes du rang de Mercedes.

Présentation de la Lotus E21

Ça y est, on tient la première F1 de 2013. C’est la Lotus E21 qui a ouvert le bal des présentations cru 2013. Photos vidéo et revue de détails.

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Nez cassé et robe teintée de rouge

Première chose très visible, la E21 conserve son nez « bec de canard » qui avait fait son apparition en 2012. L’écurie avait la possibilité de le cacher mais ne s’y est pas résolu.

Concernant les couleurs de la voiture, elles restent sensiblement identiques à celles de 2012, à savoir à dominante or et noire, mais le rouge renforce sa présence, comme sur les pontons.

Place à la technique

Côté technique, les photos permettent de voir que les échappements diffèrent quelque peu de ceux de 2012. On en saura un peu plus par la suite, mais c’est une évolution notable, quoique attendue.

La E21 embarquera le fameux double DRS passif, développé l’an passé. Un gros travail a également été mené sur la suspension arrière et avant, mais aussi sur l’aileron avant. L’échappement lui reprend des idées de RedBull avec un tunnel qui récupère l’air passant sous les pontons. Seule Lotus a copié ce système, McLaren et Ferrari adoptant une solution différente. (Présentation Ferrari F138, Présentation McLaren MP4-28).Toutefois, extérieurement, la E21 reste très proche de sa devancière. Tout est dans le détail.

Les pilotes restent bien entendu Kimi Räikkönen et Romain Grosjean. Pour le 3e pilote, c’est Davide Valsecchi qui a signé avec l’écurie d’Enstone. Il rejoint ainsi Nicolas Prost et Jérôme d’Ambrosio.

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Crédit photo : Lotus

Timo Glock chez BMW en DTM

Après l’annonce de son départ de l’écurie Marussia en début de semaine, les rumeurs sur l’avenir de Timo Glock étaient très insistantes sur un transfert en DTM. Chose officielle depuis ce matin.

Retour à la maison

Pour Timo Glock, revenir dans le giron BMW revient à revenir au bercail. L’ancien pilote Toyota et Marussia en F1 était pilote de réserve de la marque allemande en 2007. La firme de Munich, qui a remporté le championnat DTM en 2012 pour son grand retour, a désormais tous ses pilotes pour 2013.
Glock, qui a essayé la M3 de DTM à Valence dans la semaine, s’est déclaré « excité de piloter à nouveau pour BMW après toutes ces années. »

ZapAuto 25/01

Pour le retour du ZapAuto (absent la semaine dernière pour cause de Rallye Monte-Carlo), un menu copieux.

Justement vous retrouverez le résumé du Monte-Carl’ avec les vidéos de bestofrallylive.com, mais aussi les images de la réunion de la Scuderia Ferrari sur la neige. A voir également les nouveautés de Audi et de sa voiture qui se gare toute seule, Mercedes, BMW, Aston Martin.

Enfin, Renault a publié une vidéo de présentation du Monte-Carlo Historique qui célèbrera les 40 ans de la victoire d’Alpine-Renault en Principauté. Enjoy !

Les enseignements du Rallye Monte-Carlo

La première levée du championnat du monde des rallyes 2013 a bien sûr vu la septième victoire en Principauté de Sébastien Loeb, mais d’autres pilotes, à commencer par Sébastien Ogier ont répondu présent sur les routes du Monte-Carlo.

Loeb impérial

Le semi-retraité est toujours le roi du Monte-Carlo ! Au bout de quatre étapes dantesques, Loeb est sorti largement vainqueur du premier rallye 2013. Domination sans partage pour le champion du monde sortant qui ne participe qu’à quatre rallyes cette année.

Parti prudemment dans les premières ES du mercredi matin, Loeb a assommé tout le monde dans le deuxième passage dans Burzet – St-Martial, en collant près de 53″ à Ogier notamment. Un écart quasi définitif, puisque jamais le pilote Volkswagen ne reviendra menacer le duo Loeb-Elena.

Les Citroën pas dans l’ordre attendu

Si on attendait une victoire de Loeb, on ne pensait pas au vu des conditions de route, pour la plupart totalement enneigées, voir Dani Sordo devancer à l’arrivée Mikko Hirvonen.
Le Finlandais, bombardé grand favori pour le titre mondial, a perdu quelques plumes à la roulette de Monaco. En délicatesse sur les spéciales où la neige et le mouillé étaient mêlés, Hirvonen n’a même pas été le plus rapide dans des ES comme St-Bonnet, totalement immaculée, et donc plutôt favorables à un pilote nordique, habitué à ce type de terrain. On attend une vraie réaction du Finlandais dès le rallye de Suède, pour bien montrer qu’il est le favori pour succéder à Sébastien Loeb au palmarès du WRC.

A l’inverse, Dani Sordo a réalisé une superbe prestation, même si il termine très loin de Loeb et Ogier. L’Espagnol, si il continue ses bonnes prestations sur les rallyes terre, pourrait faire plus que jouer le rôle d’équipier de luxe d’Hirvonen en 2013.

Volkswagen et Ogier dans le tempo

Deux ans de développement acharné, des essais préliminaires menés tambour battant en Ardèche, Volkswagen Motorsport arrivait au Monte-Carlo en position d’outsider, ne s’étant jamais confronté directement à la concurrence.
Et tout fonctionne ! Première ES du rallye et premier scratch pour la Polo R et Sébastien Ogier. Si par la suite, Loeb et sa DS3 ont patiemment construit un avantage décisif, Ogier s’est montré le plus constant derrière le champion du monde.

Hormis dans Burzet mercredi après-midi, où il aura lâché 53″, et dans Sisteron où il perd 12″ après avoir calé, Ogier est resté collé aux basques de Loeb. De bon augure pour la suite du championnat, car sa deuxième place finale démontre que sa voiture est bien née, et que son pilote peut jouer les premiers rôles. A confirmer par la suite, car on le sait, le Monte-Carlo est un rallye très spécifique.

Pour Jari-Matti Latvala, les débuts en Polo furent plus difficiles. Pénalisé d’entrée de jeu, il n’a jamais pu se mêler à la lutte, malgré quelques bons chronos. La plupart du temps battu par Ogier, le Finlandais est aussi retombé dans ses travers en sortant de la route dans le premier passage du Turini, samedi. On attend de Latvala qu’il termine les prochaines courses, avant de viser plus haut.

Ford a une carte à jouer

Certes le géant américain s’est retiré, mais M-Sport et le Qatar WRT ont concocté des Fiesta RS WRC redoutables, emmenées par des pilotes qui auront fait parler d’eux pendant ce Monte-Carl’. Si Neuville fut éliminé prématurément, Novikov, Hänninen et Ostberg ont démontré qu’il faudra compter eux pendant la saison. Ostberg a été ralenti par une roue endommagée dans Loda-Lucéram et Hänninen et Novikov sont sortis dans le Turini, mais auparavant, ils auront signé des performances de tout premier ordre. Il faut dire que pour Hänninen, le Monte-Carlo constituait l’un de ses premiers rallyes en WRC, et les trois nordiques avaient peu d’expérience sur un rallye où cette donnée est fondamentale. Le rallye du Suède pourrait bien sourire à Ford !

Bouffier se montre

Premier rallye WRC avec la DS3 WRC pour Bryan et une 5e place à l’arrivée. Un beau résultat car le Français a su éviter les pièges d’un rallye qu’il avait remporté en 2011. Malgré une grosse alerte dans St-Jean en Royans, Bouffier a profité des circonstances de course et d’un superbe scratch dans le Turini pour remonter petit à petit dans le classement.

Le WRC reprendra ses droits en Suède début février, et l’on attend une grosse explication entre Nordiques, qui ne voudront pas se laisser encore une fois distancer par Sébastien Loeb.